Toute une école de la vie dans ces petites cruautés
Archives de l’étiquette : XIXe
Ramasse tes lettres : Le Livre de Monelle, de Marcel Schwob
Commentaires Poèmes en prose consacrés aux filles perdues. Dans la littérature, ce personnage pourtant durement condamné par l’opinion publique, apparaît souvent comme salvateur : muse, érotisme divin mis à portée de l’homme (versant complémentaire du feu de Prométhée), élan maternel sans limite, femme se sacrifiant pour le bien des autres. Processus romantique par excellence, trouver l’essenceLire la suite « Ramasse tes lettres : Le Livre de Monelle, de Marcel Schwob »
Imaginez la scène : Lucrèce Borgia, de Victor Hugo
Commentaires À la suite de Notre Dame de Paris en 1831 et Le roi s’amuse en 1832, Hugo continue de puiser dans l’histoire du Moyen-Âge tardif des motifs romantiques. Dans la famille des Borgia et les légendes les entourant, il retrouve l’horreur grandiose des tragédies grecques et de la dynastie maudite des Atrides ou desLire la suite « Imaginez la scène : Lucrèce Borgia, de Victor Hugo »
Ramasse tes lettres : Le Rêve de l’oncle, Dostoïevski
Derrière les mariages d’ambition, les petites lâchetés, le commérage provincial, n’y a-t-il pas, tout autant que chez les nobles et chez les pauvres, des hommes et des femmes qui luttent pour exister ?
Imaginez la scène : Cromwell, de Victor Hugo
Commentaires Effectivement injouable tant sur la longueur, mais aussi la quantité des intervenants. Ce foisonnement rend la pièce particulièrement brouillon avec des scènes qui finissent par sembler tout à fait dispensables (la réception des envoyés des pays étrangers). Si Hugo rompt avec les unités classiques, ainsi qu’avec la bienséance, et la séparation comique tragique (leLire la suite « Imaginez la scène : Cromwell, de Victor Hugo »
Passe ton train : Les Racines du mal, Dantec
Sommes-nous tous des cas pathologiques pouvant se résumer à des configurations de données cognitives ?
Ramasse tes lettres : L’Homme qui rit, Victor Hugo
Entendez-vous l’écho d’un rire sarcastique ? Ce sont les lords qui rient du mauvais destin qu’ils vous ont attribué…
Ramasse tes lettres : Le Petit Héros, Dostoïevski
Lorsque l’enfant ouvre des yeux d’adolescent, il y a une femme… et l’absurdité du monde. Comment devenir le héros de son propre conte ?
Attache tes papillons : Dernières miniatures, de Dostoïevski
Morceaux de vie, petites paroles du monde
Imaginez la scène : Chantecler, Edmond Rostand
Ce qui empêche la lumière de percer, ce n’est pas l’obscurité, mais le vide sophistiqué.